Le 24 mars 2021, les Nations Unies de concert notamment avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publiaient un rapport sur l’âgisme. « Une personne sur deux dans le monde aurait des attitudes âgistes, ce qui a des conséquences négatives sur la santé physique et mentale des personnes âgées  et leur qualité de vie et coûte chaque année des milliards de dollars aux sociétés », selon le rapport.

L’arrivée de la pandémie aurait accentué les attitudes discriminatoires envers les aînés. « L’âge aurait été utilisé comme seul critère pour déterminer l’accès aux soins médicaux et aux traitements d’importance vitale et justifier l’isolement physique. » Le rapport traite des déterminants de l’âgisme, de son impact social et formule les trois recommandations suivantes :

  • Investir dans des stratégies fondées sur des données probantes…
  • Améliorer les données et la recherche pour mieux comprendre l’âgisme et les moyens de réduire ses effets.
  • Créer un mouvement visant à modifier le discours autour de l’âge et du vieillissement.